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Un groupe de loups, c'est une horde. Un groupe de vaches, c'est un troupeau. Mais un groupe d'humains, c'est souvent une bande de cons | Sirius / 100 %

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Un groupe de loups, c'est une horde. Un groupe de vaches, c'est un troupeau. Mais un groupe d'humains, c'est souvent une bande de cons | Sirius / 100 % Empty Un groupe de loups, c'est une horde. Un groupe de vaches, c'est un troupeau. Mais un groupe d'humains, c'est souvent une bande de cons | Sirius / 100 %

Message par Sirius M. Cohan Mar 18 Aoû - 15:34

feat Personnalité choisie
Sirius M. Cohan
 "La nuit est douce comme une berceuse, noire comme une maladie."

 
D. A. D. O. E. S. by Robin Foster on Grooveshark


 
Présentation

 


« Bonjour !
 Je m'appelle Sirius Minkhar Cohan et l'on ne me surnomme pas. J'ai 90 ans et des poussières. Aux dernières nouvelles, je suis un homme. Je suis bisexuel et actuellement célibataire, même si ça ne vous regarde en rien.. Mon principal défaut est ma fidélité et ma qualité majeure est mon entêtement, mon envie de toujours mieux faire . »

Taille : 1m82
 Poids : 73 kg
 Groupe : vampire
 Métier : éditeur travaillant pour la bibliothèque des Kyūketsuki
 Ambition : Voyager et m'améliorer dans la confection de médicaments à base de plantes. La botanique est un sujet très intéressant ; savoir que l'Aconit Napel est une plante pouvant apporter la mort en seulement deux grammes de consommé est un plus, surtout dans la création de poisons…
Nezumi No.6


 
Physique

 


Nous avons été façonnés par notre mère dans le seul but de plaire, pour appâter les petits papillons égarés dans nos filets. Nous sommes des prédateurs se dissimulant sous un simulacre d'humanité afin de tromper la vigilance d'autrui et de poignarder dans le dos lorsqu'on ne s'y attend pas. Un vampire ne peut être laid, il aura de toutes manières un charisme monstre qui attire les regards. Je ne suis donc pas un laideron, même en me forçant à l'humilité, je ne dirai jamais que je suis quelconque. Ma démarche est féline et coulante, fluide. Mon corps est grand, du moins dans les standards requis pour plaire, et élancé. Je possède de légers muscles délicatement dessinés et cela me suffit. Je n'ai point besoin d'avoir des abdos d'enfer pour séduire, tout n'est pas forcément dans l'emballage, comme on dit. Plutôt fin, on ne verra mes côtes que si je bloque ma respiration pour les montrer et, étant un vampire, ma carnation est très pâle, d'une douce teinte ivoire. Elle ne prendra un ton cadavérique et malade que lorsque le manque me rongera les entrailles, pas avant. Mais cela ne risque pas d'arriver puisque je suis plutôt gourmand d'hémoglobine. Il s'agit de ma seule nourriture, alors pourquoi faire la fine bouche comme les humains et me priver ?

Mes cheveux sont aussi noirs qu'une nuit sans lune, tranchant ainsi avec la couleur blanche de mon épiderme. Ils sont mis en valeurs de par leur noirceur et sont fins et longs. Je les attache régulièrement en queue de cheval haute ou en un chignon brouillon, mais j'aime également les laisser caresser mes omoplates. Je garde toujours deux mèches pour encadrer mon visage et je ne perds pas cette habitude, quelque soit ma coupe de cheveux. Ma crinière corbeau retombe en une frange sauvage sur mes deux yeux en amandes d'une saisissante teinte orageuse ; mes prunelles sont d'un séduisant anthracite et sont bercés de longs cils noirs. Vient ensuite mon nez légèrement pointu. Un nez sans beaucoup d'originalité, si ce n'est sa fragilité. Je suis en proie à de chroniques crises d'épistaxis puisque je ne veux pas aller chez le médecin me faire cautériser. Ces crises surviennent un peu n'importe quand, mais, hasard ou pas, souvent lorsque je suis en proie à une forte émotion. En d'autres termes, je pisse souvent le sang du nez et, parce que j'ai peur des médecins (oui et alors !?), je ne vais pas me faire soigner. En dessous de mon nez trône mes lèvres pâles et pulpeuses appelant les baisers. Mais cette bouche d'apparence si désirable dissimule en son sein des crocs à faire pâlir un animal. En effet, mes canines sont aiguës, me permettant ainsi de facilement percer la carotide ou, ma préférée, l'artère fémorale... Mon visage est plutôt fin, comme tout chez moi, et mes traits un peu anguleux.

Niveau vestimentaire, je suis en fascination devant les capes que je me plais à porter. J'aime également le tissu des chemises, mais la texture me plaisant le plus est le cuir. Vestes en cuir, pantalon en cuir, chaussures... Pour parler bijoux, je porte une lourde chevalière à mon annulaire droit et je me sens nu sans elle et son poids rassurant. Une boucle finement décorées perce le lobe de mon oreille gauche, petite fantaisie charmante de ma part.


 
Caractère

 


« La mort est en moi. Elle y a toujours été comme chez elle ou, plutôt, comme dans une résidence de vacances où elle aurait séjourné de temps à autre. Un petit coin "d'humanité" où elle s'épanouit plus qu'ailleurs. Alors elle revient. Elle m'est fidèle. Je crois que, à sa manière, elle m'aime bien. »

Je suis un vampire, il est donc légitime que le sang chante pour moi, m'appelle, me séduise. Mais je n'ai pas seulement l'envie de le porter à mes lèvres, non. J'aime le voir gicler, couler en de lourdes flaques rouges, se répandre sur le sol et former des arabesques compliquées sur l'asphalte. Sa lourde odeur de fer m'attire, la sensation poisseuse sur mes mains me rend euphorique. Avec l'envie de sang, je suis également taraudé par le désir de prendre une vie. C'est tellement grisant d'avoir ce pouvoir sur un être, de pouvoir dépasser les Parques, selon le mythe, et de couper leur fil de vie avant le moment venu ! L'idée d'un meurtre suffit à me faire trembler de plaisir, a faire rougir mes iris et à faire tambouriner mon palpitant dans ma poitrine si fort que j'ai l'impression qu'il cherche à briser mes côtes avant d'imploser. Après tout, les humains sont si faibles. Un peu comme les coquelicots, fleurs des champs qui meurent dans la journée lorsqu'on les cueille. Oui, j'aime laisser derrière moi la preuve de mon passage, une trainée sanguinolente, mais la mort par exsanguination n'est pas ma préférée, bien qu'elle reste la plus satisfaisante. Moi, j'aime le meurtre à distance. Devoir jouer d'habileté pour empoisonner quelqu'un à son insu et guetter dans le but de voir si la dose donnée sera suffisante. Mourra ? Mourra pas ? J'aime ce taux probable d'échec. C'est un peu comme jouer à la roulette russe et la sensation que ça fait naître en moi me plait.

Je sais donc me montrer particulièrement rusé et fin stratège. Comment administrer un poison ou un médicament à une dose suffisante pour occasionner le décès sans que la personne ne le remarque ? Sans qu'elle ne s'aperçoive du goût étrange qui demeure sur sa langue ? Débrouillard et inventif, je trouve toujours une façon pour arriver à mes fins ou pour me sortir de problèmes quelconques. Je suis un être qui se veut très indépendant, malgré mes chaînes m'obligeant à me nourrir de faibles humains pour vivre. Mais je préfère de loin m'attaquer à des garous ou à des anges. Même à des démons ! Le goût de leurs sangs varie tellement de l'un à l'autre. Parfois délicat, parfois fort, musqué, épicé, doux, sucré... Un véritable délice, une explosion de saveurs. Bref, j'apprécie donc ma liberté et je ne supporte pas les endroits clos. Me retrouver enfermé est la pire de mes appréhensions, même une phobie. Mais s'il y a une chose que je hais à la même intensité que les endroits étroits, c'est bien ma fidélité à toute épreuve. Je ne peux pas m'en empêcher, c'est un précepte imprimé en moi, allant de pair avec le fait que je m'attache trop rapidement. Je suis comme un chien suivant partout son maître, malgré les coups de bâton de ce dernier. Je reste coller comme une moule à son rocher à mes amis par peur de les perdre...

Mais je suis égoïste. J'affectionne profondément le peu de personnes comptant pour moi, mais mon bien-être passera toujours avant le leur. C'est l'instinct de survie, en quelque sorte. Un peu narcissique, je sais également que je suis beau et j'en profite parfois. Mis à part cela, je suis friand d'humour noir. Plutôt menteur, je me moque toutefois facilement d'autrui et me plais à appuyer où ça fait mal.

Même si devant les autres, je ne suis pas comme ça. Surtout avec la famille en charge des vampires et mes collègues de travail, en fait. Je suis faux, je joue le rôle d'une personne un peu naïve, même parfois stupide afin de tromper et de me faire sous-estimer. Je dissimule aisément la bête tapie en moi et j'attends le bon moment pour griffer, attaquer. Je change de visage en fonction de la personne se trouvant en face de moi, en bon caméléon. Je séduis, j'éloigne du troupeau et je me jette sur ma proie, comme un serpent. Mais je ne l'avale pas tout rond, non... je joue avec, je la taquine et la pousse dans ses retranchements. Les seuls moments où je suis vraiment moi, c'est avec mes amis les plus proches et une fois la nuit tombée. La lune a un effet apaisant sur moi, je me sens plus à l'aise entouré de son manteau d'obscurité que lorsque je suis agressé par les lueurs du jour.

Je ne peux pas ne pas vous parler de ma haine contre les démons. Je ne les déteste pas vraiment pour le viol de ma mère, après tout, je peux encore comprendre les passions dévorantes de la chair. Mais je les hais pour les émotions qu'ils font naître en moi, involontairement. Je suis quelqu'un possédant énormément de sang froid et de patience, je ne m'énerve pas facilement... mais les démons savent si bien me faire sortir de mes gonds que s'en est frustrant. Avec eux, c'est dominer ou être dominé. Manger ou être mangé. Je ne peux pas m'empêcher de vouloir les affronter, je me pourlèche les lèvres en les imaginant plongé dans la douleur, ma semelle leur écrasant la joue comme s'ils n'étaient que des vulgaires cafards... Et le pire, c'est que leur sang m'attire. Ils possèdent un goût généralement fort, parfois même épicé et faire rouler cette hémoglobine démoniaque sur ma langue me transforme en poupée de chiffon.

Dernière chose, j'adore les livres, l'odeur des manuscrits poussiéreux et de l'encre. J'aime lire, j'aime cette immersion juste sous la surface des mots, en apnée littéraire. C'est jouissif de se laisser porter par le courant et la verve d'un écrivain. Je suis une personne très curieuse et j'aime savoir un maximum de chose sur un sujet. Je ne me contente pas de gratter la surface, j'agis comme un historien et j'analyse tout ce qui est à ma portée, sans me laisser abattre. Une personne attisant ma curiosité peut se faire suivre jusqu'à chez elle, espionnée afin que je connaisse la raison de mon attirance. Je suis toutefois très possessif avec mes trouvailles (ou mes amis d'ailleurs) et peux me montrer territorial chez moi. Je déteste avoir du monde à la maison, c'est mon univers et je n'aime pas le savoir souillé par la vue d'un tiers.


 
Histoire

 


Je sentis la claque fuser, mais je ne bougeai pas d'un iota pour sauver ma joue d'une marque de main brûlante. Le bruit de la gifle résonna longtemps dans la pièce alors que je remarquai les larmes se mettre à perler aux yeux de ma mère. Sa lèvre tressautait alors que, doucement, elle me caressa la joue comme pour faire disparaître la sensation cuisante du coup que je venais de recevoir. Je savais qu'elle regrettait, elle détestait profondément lever la main sur son unique et dernier fils. Je ne lui en voulais pas.

« Siri… Je… »

Je ne lui laissai pas la chance d'ouvrir à nouveau la bouche. Je courus jeter mon petit corps d'enfant de dix ans dans ses bras aimants et nichai mon visage dans son cou, humant son odeur fleurie. Pas une larme ne coula alors que, avec une délicatesse à faire pâlir d'envie une princesse, ma mère m'étreignit, un vase familial richement décoré des Kyūketsuki brisé derrière nous. J'aimais profondément ma mère, Anka, malgré la gifle qu'elle venait de m'administrer. Je savais que j'étais en tort et que si elle ne m'avait pas frappé, le dirigeant de la famille l'aurait fait et cela aurait été encore plus gênant. Ma mère détestait profondément la violence, elle se nourrissait essentiellement de sang animal et se considérait comme étant une végétarienne. Elle devait donc énormément se nourrir, mais cette vie lui convenait bien. Je ne l'avais pas suivi dans cette lubie, mais j'aimais partir de temps à autre chasser avec elle. C'était nos moments de famille à nous. Les humains allaient au théâtre, nous, nous partagions un cerf. Elle m'élevait seule depuis ma naissance, étant parfois aidée par d'autres mères vampires, mais je n'ai jamais connu mon père autrement qu'à travers une photo. Je savais que j'avais hérité de lui sa chevelure d'ébène et son menton, mais tout le reste venait de ma mère. Je la voyais elle à chaque fois que je croisais mon regard dans le miroir, à chaque fois que je voyais ma bouche s'ourler en un sourire tordu, le même qu'elle.

Tout ce que je savais sur mon père, c'était son prénom ; Emmet. D'après ma mère, il l'avait quittée en apprenant que je grandissais dans son ventre et qu'il allait bientôt devenir père. Il n'aurait pas supporter cette perte de liberté, semblerait-il, et avait abandonné Anka en lui laissant une lettre d'adieu et une rose blanche. Il était parti dans la nuit, comme un voleur et ma mère en eut le coeur brisé. Elle se remit toutefois de sa dépression pour moi, pour la vie qu'elle sentait naître dans son ventre s'arrondissant au fil des mois. Et je naquis une nuit de pleine lune, le 12 février sous le signe du Verseau. Elle prit un congé maternité pour m'éduquer et observer mes premiers instants dans ce monde. Un sourire attendri épouse encore mes lèvres lorsque je pose mes yeux sur les photos nous montrant nous, ma main miniature dans la sienne, fine et joliment manucurée.

Le temps passa, les minutes continuèrent de s'égrainer et bientôt j'eus vingt ans. Je ne quittai toujours pas le giron de ma mère, une vampire plutôt forte à laquelle il ne fallait pas se frotter. Elle possédait le don de lire dans les esprits, comme tous vampires puissants, d'après elle ; je ne pouvais donc rien lui cacher longtemps et elle me gratifiait inlassablement d'un sourire tordu et malicieux dont j'avais hérité. Nous passâmes d'excellents moments elle et moi, jusqu'à ce qu'elle ne se fasse assassiner. Par un humain, un ange, un démon, un autre vampire, un garou… Je ne le saurais jamais, mais ce que cette personne avait fait de ma mère n'était pas humain. C'était une boucherie et je reconnaissais avec peine son visage. Ses lèvres étaient tout de même étirées en sourire et je me plus à dire que sa dernière pensée était tournée vers moi.

La fissure que créa son décès dans mon coeur fut profonde, pas facile à guérir. La seule prescription était le temps. Je ne pouvais rien faire pour aider la cicatrisation du trou béant que créa son départ, mais le temps le pourra. Alors je pleurai, même si je savais que c'était inutile, mais je ne pus contenir les cascades de larmes ensanglantées qui dévalèrent mes joues le jour de son enterrement. Elle avait toujours rêvé d'une belle pierre tombale surmontée de bois de cerf alors, pour elle, je partis chasser un animal et le poids de la solitude me fit haleter tant ma gorge se resserra. Courser un animal sans elle, c'était vraiment étrange. Vide. Je ne me sentais pas à ma place. Je tuai tout de même un cerf et le mutilai afin de lui voler ses bois, les ramenant ensuite sur la tombe de ma génitrice.

« Ci-gît Anka Cohan, femme formidable partie trop tôt. Je t'aime maman, » était inscrit sur la pierre.

Je déposai des fleurs de lys, ses préférées et partis sans me retourner. Mon nez se mit à saigner et je laissai sur mon chemin une lignée de sang aussi sombre que mes pensées.

***

Un rire de dément m'échappa et sembla un instant rebondir contre les murs des bâtiments situés non loin. Le dos replié vers l'arrière et le visage tourné vers le ciel, je ris sans pouvoir m'arrêter, je n'arrivai pas à contenir cet éclat au fond de ma gorge. Finalement, je me calmai en posant un regard satisfait sur le corps humain allongé à mes pieds, la main accrochée pitoyablement à ma jambe, le visage déformé par une grimace d'agonie. Ses yeux étaient révulsés. Mon rictus s'agrandit encore en voyant son estomac ouvert et à l'air libre, les serpents sanguinolents qu'étaient ses intestins pendant un peu partout. J'essuyai mes lèvres tachées de rouges du revers de la manche, poussant ce cadavre épuisé de côté comme un vulgaire déchet et rentra à la maison, repus.

Je ne savais pas réellement depuis quand mon envie pour le sang s'était développé en une chose plus morbide tournée vers la mort, mais je pensais sincèrement que cela avait à voir avec la perte de ma mère, la vue de son corps déchiqueté, le maelström de sentiments qui s'en était suivi…et je restais un vampire. Donc un prédateur. Je ne m'inquiétai donc pas de cela. Après tout, je tuais depuis petit. Des fourmis en les piétinant, des mouches en leur arrachant les ailes, des animaux pour me sustenter, etc. C'était le cycle de la vie.

***

À maintenant quatre-vingt-dix ans, j'observai le monde avec le regard expérimenté d'une vieille personne. J'avais vécu une vie humaine, peu d'humains pouvaient crâner en disant avoir atteint la centaine, ce qui serait mon cas. Je n'avais toujours pas changé de comportement et évitai un maximum le cimetière, n'aimant pas revoir la pierre tombale de ma mère, me rendre compte que sa disparition me pesait plus que je ne voulais le montrer. Parce que, au fond, je savais très bien que mon coeur ne s'était pas encore rétabli. Alors je vivais au jour le jour, me nourrissant au grès de mes envies. Je m'étais découvert une passion pour la lecture et pris donc sans rechigner un travail au près de la famille régnant sur les vampires. Editeur me convenait bien, je me plongeai en apnée littéraire, lisait manuscrit sur manuscrit… et voir un livre dont je m'étais chargé être nommé Best-seller était ma plus belle récompense.

Mais la mort est en moi. Elle coule dans mes veines. Je la sens. Et où je passe, les humains trépassent.


 
Derrière l'écran

 


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Sirius M. Cohan
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Un groupe de loups, c'est une horde. Un groupe de vaches, c'est un troupeau. Mais un groupe d'humains, c'est souvent une bande de cons | Sirius / 100 % Empty Re: Un groupe de loups, c'est une horde. Un groupe de vaches, c'est un troupeau. Mais un groupe d'humains, c'est souvent une bande de cons | Sirius / 100 %

Message par La déstinée Mer 19 Aoû - 6:03

Validé!


Bon oui, t'es un fou dangereux mais je te valide quand même o/ Je m'occupe de mettre tout les recensements à jours, pour ta part je te propose d'aller faire un tour dans les demandes en tout genre pour récupérer une chambre et voir pour demander un RP <3

Bon jeu petit vampire, que ta vie soit longue <3
La déstinée
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